
Assurance professionnelle
Enseignants, votre métier comporte des risques qui ne sont pas toujours couverts.
GMF a donc conçu pour vous un contrat d'assurance pour vous protéger dans l'exercice de votre métier.
A 28 ans, Vincent William vient de décrocher le CAPES (certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement du second degré) et le CAPLP (concours d’accès au corps des professeurs de lycée professionnel) d’anglais.
Retour sur une expérience réussie !
Absolument pas. C’était la troisième. La première fois, je n’étais pas admissible. L’année suivante, j’ai échoué à l’oral mais la troisième était la bonne.
J’ai un parcours un peu sinueux : j’ai commencé par un master de commerce international. C’était une erreur d’orientation, je n’arrivais pas à envisager mon avenir professionnel, ce n’était pas ma voie. En revanche, j’ai toujours aimé les langues. Après ce master, j’ai été surveillant dans un lycée professionnel, pendant deux ans. Et j’ai décidé de devenir enseignant.
Gérer la fatigue de la préparation du concours en plus de celle d’enseignant. Et les sacrifices concernant la vie personnelle, comme refuser les sorties…
J’avais un bon potentiel mais je manquais de méthode. Cette année, je me suis concentré sur la méthodologie, afin de gérer au mieux les cinq heures d’épreuves écrites. Et le fait d’avoir été contractuel a été déterminant.
C’est un atout majeur. Pour certains, les stages d’un mois, dans le cadre du master, peuvent suffire. Mais moi, j’avais besoin d’être complètement en autonomie, de me frotter au métier, aux élèves. Cela m’a donné de la crédibilité pour les oraux : je savais de quoi je parlais, j’étais à l’aise et convaincant. Cela m’a aussi montré les difficultés du métier. Et surtout, cela m’a conforté dans mon choix, dans ma vocation.
Il faut vraiment choisir ce métier parce qu’on l’aime, car c’est un métier difficile. Pour moi, comme pour beaucoup, le plus compliqué reste la gestion de la classe. La première étape est d’oublier la notion de classe idéale, celle où l’on entendrait les mouches voler. Il s’agit être capable de lâcher assez de lest pour que les élèves ne se sentent pas emprisonnés. Mais il faut aussi poser des règles de vie en classe et surtout de s’y tenir, afin de rester crédible. Il faut signaler les difficultés à la direction le plus tôt possible. Et même, si on se remet toujours en question, il est essentiel d’aller discuter avec les autres enseignants de la classe, afin d’avoir une vision plus globale du problème. Et de s’ôter un peu de la pression du débutant.
Si l’on n’a pas déjà un pied dans l’enseignement, il est souvent possible de franchir la barrière des écrits mais pas de réussir les oraux. Alors, je lui conseillerais de passer par le master MEEF. Il prépare parfaitement aux épreuves. Ou sinon d’enseigner, afin de gagner en crédibilité et d’être conforté dans ses choix. Il vaut mieux postuler auprès des académies qui sont en déficit d’enseignants, comme celles de Créteil ou de Versailles.
Etudier parfaitement les rapports du jury, tout y est ! Notamment le vocabulaire propre à ce concours, qu’il faut maîtriser. A l’écrit, il faut aller plus loin que ce que disent les documents, réussir à mettre le sujet dans le contexte du pays et avoir une réflexion plus large, qui fera sortir votre copie du lot. Pour cela, il est indispensable de posséder une culture générale solide, d’avoir des connaissances fines de la politique, des genres littéraires et de l’histoire de la civilisation.
Enseignants, votre métier comporte des risques qui ne sont pas toujours couverts.
GMF a donc conçu pour vous un contrat d'assurance pour vous protéger dans l'exercice de votre métier.
Youtube conditionne la lecture de ses vidéos au dépôt de traceurs. Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer sur « Paramétrer ».