2. Sécuriser les lieux de l’accident
Protéger
Utilisez tous les moyens à votre disposition pour isoler le site de l’accident et le risque d’aggravation de celui-ci : feux de détresse, triangle de signalisation pour baliser en amont du sinistre (200 mètres), gilet jaune, mise à l’abri des personnes hors de la chaussée, dégagement de celle-ci, si possible, au cas où l’animal est mort.
Alerter
Prévenir les autorités en alertant les services de police ou de gendarmerie (112, 17) qui interviennent sur le lieu de l’accident, déterminent les circonstances dans un procès-verbal, règlent la prise en charge de l’animal sauvage.
Attendre les secours
Il ne peut être question de secourir soi-même l’animal blessé. L’approche d’un être humain est toujours pour lui une source de stress et peut provoquer une réaction de défense violente.
3. Après l’arrivée de secours
- Si l’animal est blessé, il sera pris en charge par les autorités qui feront appel à un centre de soins à la faune sauvage ou à un vétérinaire que la loi autorise à prodiguer les premiers soins en cas d’urgence vitale.
- Si l’animal est mort, il est dirigé vers un centre d’équarrissage. S’il s’agit d’un grand gibier comme un sanglier, vous avez la possibilité de le transporter en vue de sa consommation (vente exclue), à condition d’en informer les forces de l’ordre.